Les nuits de Repentigny

En business (2008)

Paroles et musique : JF Pauzé

« En business, c’était la réponse à un fan rencontré par hasard et qui m’avait dit : « Hey ! Qu’est-ce que tu fais dans la vie depuis que les Cowboys se sont séparés ? » Ça faisait quatre ans qu’on n’avait pas sorti d’album, notre batteur avait quitté le groupe et plusieurs personnes pensaient que l’on était morts. Je m’étais dit qu’il était temps de redonner signe de vie. Au final, la chanson est sombrée dans l’indifférence totale après l’avoir présentée au band. » - JF Pauzé

Épique Éric (2020)

Paroles et musique : JF Pauzé

Une autre pièce issue de la pandémie. On voit clairement que JF n’avait pas la tête à plancher sur des chansons évoquant la fin du monde ! La mélodie d’Épique Éric existait depuis longtemps et un texte (beaucoup moins con et très ennuyant) y était rattaché. Ce dernier fut jeté au panier au profit de ce récit on ne peut plus décadent.

Les nuits de Repentigny (2020)

Paroles et musique : JF Pauzé

« Histoire de rigoler un peu, l’idée de faire un pastiche d’Elvis m’est venue pendant la première vague de la pandémie. Je voulais une chanson qui sente les paillettes et le clinquant des casinos de Vegas mais qu’en contrepartie, le texte soit totalement pathétique. J’avais un vieux refrain inutilisé depuis longtemps dans mes archives qui disait « Les nuits de Repentigny ». L’angle était trouvé car RIEN n’est moins glam que le night life de Repentigny ! » - JF Pauzé

Le p’tit Tommy (2010)

Paroles et musique : JF Pauzé

Chanson à l’humour noir retranchée de l’album Que du vent (2011). C’est le portrait à la fois ludique et lubrique d’un sociopathe en devenir. Le p’tit Tommy fut réellement inspiré d’un commis d’épicerie vraiment trop affable et sympathique que JF s’était amusé à imaginer en monstre sanguinaire le soir venu.

Le long d’la 20 (2000/2020)

Paroles et musique : JF Pauzé

« Le long d’la 20, c’est l’histoire d’une moitié de toune qui dormait depuis vingt ans dans mes cartons. Chaque fois que j’ouvrais le fichier, je me disais « faudrait ben que je la finisse un de ces quatre ». La pandémie aura eu ça de bon : j’ai pu fermer quelques dossiers très peu prioritaires ! Et oui, Marie-Lutin existe vraiment. » - JF Pauzé Paroles

Anguille sous roche (2003)

Paroles et musique : JF Pauzé

La tournée Break syndical résumée en chanson. Nous étions pas mal sur le party à l’époque …

La grippe (2002)

Paroles et musique : JF Pauzé

Petite sœur de de la chanson Ces temps-ci. Rien d’autre à ajouter.

Fin d’hiver (2018)

Paroles et musique : JF Pauzé

Chanson qui fut écrite pour Les Antipodes. Enregistrée au départ dans une version up tempo, le groupe l’a rapidement écartée en raison de son manque d’originalité (elle sonnait trop comme du « vieux Cowboys »). La voici aujourd’hui dans une version plus intimiste.

Le clochard et la lune (2010)

Paroles et musique : JF Pauzé

Pas grand chose à dire sinon que ça avait été écrit pour Que du vent. Ce ne fut visiblement pas un coup de cœur car le groupe ne l’avait même pas monté pour l’étape de la pré-production.

Portrait #4 (2014)

Paroles et musique : Karl Tremblay

La chanson est présentée au groupe pour l’album Octobre (2015). Inspirée de la pièce L’opportuniste de Jacques Dutronc de par sa rythmique, Karl nous présente des portraits d’humains plus ou moins glorieux. La chanson avait à l’époque un refrain qui parlait de mixologie mais il a étrangement disparu.

Sous-Sol (2014)

Paroles et musique : JF Pauzé

Originalement composée pour l’album Octobre (2015), la pièce Sous-sol fut aussi écartée du disque Les Antipodes en 2019. Résiliente, elle s’est enfin fait une niche dans L’Amérique pleure – Le film (2020) au sein duquel le groupe désirait inclure une chanson inédite. Voici donc la version studio !

Rock camisole (1998)

Paroles: JF Pauzé et Karl Tremblay
Musique : JF Pauzé

Chanson qui avait été écrite en catastrophe la veille d’un concert de la St-Jean-Baptiste à L’Assomption, en juin 1998. Karl et JF trouvaient alors qu’il leur manquait de chansons originales en vue du concert. Finalement, personne ne peut se souvenir si elle avait été interprétée ce soir-là et en bout de ligne, elle ne fut pas retenue pour l’album Sur mon canapé enregistré quelques mois plus tard (novembre 1998). Triste car les références aux années 90 sont savoureuses !

Party d’pouel (1997)

Paroles: Karl Tremblay - Musique : JF Pauzé

Étrangement, cette chanson nous a toujours suivis. Elle revient épisodiquement dans nos tests de son depuis plus de 20 ans. Karl l’interprète en improvisant plus ou moins les paroles. En 2020, nous avons retracé une vieille maquette sur laquelle nous avons pu entendre les « vraies paroles ». Elle ne remportera clairement pas le prix du meilleur texte mais bravo pour l’effort d’y avoir intégré une rime en « alt ».

Noël brun (2019)

Paroles et musique : JF Pauzé

Initialement prévue pour se retrouver sur Les Antipodes (2019), Noël brun se retrouvait sur la liste des 11 chansons qui avaient passé l’étape du mixage final. Le groupe a finalement décidé de la retirer in extrémis en fin de parcours. C’est vraiment un dilemme d’inclure ou non une chanson de Noël sur un disque, si brune soit-elle. Un pas que le groupe avait refusé de franchir jusque-là. Avec le recul, Noël brun était salement prémonitoire du Noël de 2020 !

Paul (1997)

Paroles et musique : JF Pauzé et Karl Tremblay

Notre chanson la plus minimaliste à ce jour. La version originale durait beaucoup trop longtemps. On vous a épargné ça !

La Louisiane (1995)

Paroles et musique : Karl Tremblay

Une très vieille chanson écrite par Karl Tremblay et qui n’avait jamais été enregistrée, possiblement en raison de ses nombreuses incohérences géographiques. Avec le recul, la Louisiane idyllique évoquée dans la chanson n’est somme toute qu’un pays imaginaire que l’on traverse à dos de cheval, un sourire aux lèvres, engourdi par le LSD.

Fille de club (2010)

Paroles et musique : JF Pauzé

Énième chanson de « boisson » dans notre répertoire, celle-ci a la particularité de mettre en vedette une femme. Dans ce portrait attachant d’une ivrognesse incorrigible, notons au passage la chute rédemptrice qui vient redonner foi et espoir en l’humanité. Le message était tellement puissant qu’elle ne fut pas retenue pour figurer sur Que du vent (2011).

Dans son ciel (2006)

Paroles et musique : Karl Tremblay

« C’est une chanson que je n’avais jamais présentée au groupe, seule Marie-Annick l’avait entendue. Je jouais cette chanson à la maison depuis plus de dix ans sans trop savoir comment la finir. La chanson a eu une période prog avec un pont de cinq minutes, une période Neil Young pour finir en vieux punk des années 80. C’est un hommage aux jeunes qui s’élèvent seuls et qui s’en sortent quand même, grâce à un but, une passion, une raison d’exister ! » - Karl Tremblay

Le cœur battant (2010)

Paroles et musique : Marie-Annick Lépine

Suite à l’annonce de la fermeture de l’usine Electrolux à L’Assomption en décembre 2010, Marie-Annick compose la chanson Le cœur battant. Plusieurs travailleurs perdront leur emploi dans sa ville natale. Cette usine était le premier employeur en importance à L’Assomption. Dans la chanson, Marie-Annick voulait présenter le courage des travailleurs face à l’adversité et à l’inévitable. Un extrait se retrouve sur l’album Que du vent et est interprété par M. Normand Miron du groupe Les Charbonniers de l’enfer.

Graseille (1995)

Paroles et musique : JF Pauzé et Karl Tremblay

La plus connue de nos chansons inédites ! Les vieux fans du groupe la vénèrent et il n’est pas rare de se la faire demander en concert même si elle ne fut jamais enregistrée officiellement. Considérée comme étant la cousine de Gaétane en raison de leurs airs de famille, Graseille dut rester dans l’ombre pendant 25 ans avant d’être enfin révélée au grand jour. Quand Mario Pelchat rencontre Guns N’ Roses.

Pizza Barbas, Vidéo de la Pointe et Autodium (1998)

Paroles : JF Pauzé et Karl Tremblay - Musique : JF Pauzé

En 1998, « l’empire » des Cowboys était en plein expansion. JF Pauzé et Domlebo (batteur de l’époque) décidèrent d’ajouter une branche à l’organigramme de la compagnie en créant Jingles International, une société spécialisée dans la composition de jingles publicitaires pour des entreprises. Selon leur plan, les sommes amassées avec ces projets allaient pouvoir ensuite financer les albums des Cowboys. L’idée, fort louable, est finalement morte dans l’œuf et seules trois maquettes furent rescapées de l’aventure. Les trois chansonnettes furent utilisées dans la musicographie humoristique Country, incluse avec l’album live Attache ta tuque! (2003). Pour le reste de l’histoire, oui Karl travaillait au Vidéo de la Pointe et JF livrait de la pizza chez Barbas… mais personne n’a jamais mis les pieds chez Autodium !